Voir, c’est l’essence même du métier de radiologue, en utilisant les appareils les plus performants.
Comprendre, c’est la compétence du radiologue, sa capacité d’analyse et de synthèse qui permettent de faire le diagnostic. Le développement des outils d’intelligence augmentée vient maintenant renforcer la performance.
Soigner, c’est l’objectif premier, le développement de la radiologie interventionnelle renforce le volet thérapeutique de la spécialité.
Pour assumer cette triple mission, les radiologues sont face à un triple défi : démographique, technologique et financier.
Démographique : La baisse du numerus clausus continue de produire ses effets jusqu’en 2022 avec un solde en 2030 qui reste négatif, -9,8% par rapport à 2006 (sources fichier CNOM pour 2006 traitement DREES). Parallèlement à cette baisse démographique, la demande de soins augmente en raison du vieillissement de la population et son corollaire, l’augmentation des maladies chroniques.
Technologique : les appareils sont de plus en plus performants, mais aussi coûteux, la gestion des données nécessite de créer de nouveaux métiers qu’il faut pouvoir financer.
Financier : dans un contexte de transition générationnelle, la tentation de transmettre au plus offrant plutôt qu’à la génération suivante est une réalité.
C’est dans ce contexte et face à ce triple défi que 14 centres de radiologie libéraux ont créé en 2017 la CGIM devenue Vidi.
Aujourd’hui, c’est un pari réussi puisque le réseau Vidi compte déjà 48 centres d’imagerie, soit 270 cabinets partout en France au sein desquels exercent 880 radiologues associés et 3600 salariés.
Vidi est une SAS à capital variable, dont le fonctionnement est celui d’une coopérative. Elle propose à ses membres de nombreux services.
Le premier service est un service de mutualisation des achats. Aujourd’hui, grâce à sa place de 1er acheteur privé en France (40 CT / IRM par an), les membres accèdent à un large catalogue de produits et services performants au meilleur prix.
Le deuxième service mis en place est un service de communication pour aider les centres à se digitaliser, à communiquer et à être attractifs.
Au-delà, un Club lnterventionnel a été créé pour promouvoir et encourager la pratique.
Vidi dispose d’un service de CE externalisé, VidiLoisirs. Il existe également une commission dédiée à la RSE, une autre au recrutement afin de promouvoir les postes de radiologues et de non radiologues à pourvoir au sein du réseau.
Enfin, Vidi vient de lancer sa solution de téléradiologie TéléVidi. Elle s’adresse autant aux cabinets libéraux qu’aux établissements de soins. C’est le centre TéléVidi de la région du centre demandeur qui propose un projet organisationnel associant téléradiologie et présentiel. C’est le modèle auquel croit le réseau afin de préserver l’approche médicale de ces projets et non de les réduire à de la simple prestation de services. C’est la spécificité du réseau Vidi.
Le réseau Vidi connaît depuis deux ans une forte croissance, il a vocation à s’étendre en associant de nouveaux groupes qui partagent nos valeurs et nos objectifs afin d’être encore mieux à même de relever le triple défi auquel la profession doit faire face.
Le réseau est très confiant en l’avenir, son modèle participatif contrairement aux modèles financiers correspond aux attentes des radiologues qui y trouvent un intérêt intellectuel avec la mutualisation des intelligences, organisationnel mais aussi financier, ce qui dans la conjoncture actuelle est un facteur déterminant.
Si un centre souhaite rejoindre le réseau, il lui suffit de prendre contact :
contact@groupe-vidi.fr ou 01 47 64 86 52